• La couverture de votre roman.

    Oh ! un gros problème, la couverture. Je me suis posé la question pour tous les romans que j’ai écrits. Pour mon futur roman, j’ai suivi les conseils d’un site qui en parlait.

    La couverture, c’est ce que le lecteur va voir en premier. Il faut qu’elle soit belle et qu’elle reflète l’univers du livre.

    Il faut aussi qu’elle attire l’œil et doit donner envie au lecteur de s’intéresser à votre roman.

    Il y a bien des auteurs qui savent faire fonctionner Photoshop ou autre, mais il faut être vraiment un professionnel pour faire une couverture qui attirera le lecteur.

    Vous pouvez regarder les couvertures des livres du même genre que le vôtre pour voir comment elle est, qu’est-ce qui vous attire dans cette couverture.

    Vous pouvez aller prendre une image sur Internet mais assurez-vous qu’elle soit libre de droit, si vous ne savez pas la créer vous-même.

    Dans mon cas, j’ai toujours demandé à ma fille Carine qui savait mieux manier Photoshop que moi. Mais malheureusement Carine est débordée par ses études. Aussi j’ai fait appel à un professionnel qui n’est pas cher du tout : Ethan Pingault. Je viens à peine de lui envoyer la demande et je languis déjà.

     Pour en revenir à la couverture, qu’y-a-t-il dans une couverture ?

      La 1ère de couverture est celle que le lecteur voit en premier. La 4ème de couverture est le dos du livre.

      Parlons d’abord de la 1ère de couverture.

      Il faut

     - Votre nom, prénom ou pseudonyme.

          -  Le titre de votre livre

           - Le nom de l’éditeur si vous êtes édité(e) ou si vous avez un nom d’auto-entrepreneur différent du vôtre et concernant vos écrits, vous pouvez le mettre aussi.

    Où les mettre

     Le nom et le titre.

     Vous remarquerez que les auteurs connus mettent leur nom en grand et le titre de leur roman en plus petit. En fait comme ils ont beaucoup de lectorat, ils espèrent que ce sont eux qui vont acheter le livre. Grâce à leur nom.

     Mais vous qui me lisez, vous n’êtes certainement pas très connu (e).

     Aussi je vous conseille de mettre votre nom en haut de la couverture en moyen/petit et le titre au milieu en plus gros. Il faut aussi faire attention à la couverture, ne pas cacher quelque chose d’essentiel.

     Le nom de l’éditeur

    Il est écrit en petit en bas de votre livre.

    La tranche,

    C’est le même procédé que pour le nom et le titre, si vous êtes connu(e) ou non.

    La quatrième de couverture

     Le titre

    Il est en haut

     Le résumé.

    Ha ! Le résumé !

     Il faut qu’il en dise un peu sur votre livre mas pas trop pour ne pas dévoiler l’intrigue. Il faut aussi qu’il accroche le lecteur. Là aussi vous pouvez  regarder les 4èmes de couverture des romans du même genre que le vôtre, voir comme ils font et adapter votre résumé. Attention, il doit se terminer par une accroche du lecteur. Il faut, quand le lecteur arrive à la fin du résumé, qu'il est envie de lire votre roman pour savoir ce qu’il se passe après.

     La bio

    Il s'agit de la bio de votre parcours d’auteur ou de votre vie personnelle comme vous voulez, pas plus de 3 à 4 lignes. Vous pouvez la mettre en dessous du résumé à gauche par exemple et une petite photo de vous à droite ou l’inverse. Mais c’est facultatif.

     L’ISBN.

    Vous devez le demander à l’AFNIL si mes souvenirs sont bons. Il est obligatoire.

    Le code barre.

    Obligatoire aussi. Il y a sur Internet des sites qui vous font ça gratuitement du moment que vous avez le ISBN.

     Le prix de votre livre.

    Le prix de votre livre se calcule en fonction de ce que vous aurez payé à l’imprimeur. Il faut prendre en compte aussi les 30 ou 40 % que vous prendront les libraires pour vendre votre livre. Il faut bien qu’ils vivent eux aussi.

     Voilà tout ce que j’ai à dire pour la couverture.

    Faites-moi un petit commentaire en bas de cet article pour me dire comment vous faites les couvertures ou si vous avez apprécié mon article. Merci.


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  • Bienvenue sur mon blog.

    En attendant la couverture de mon blog, je vais interviewer mes personnages en commençant par Comanos. Comanos  est le Roi des Ségobriges dont le père a fait dont des terres aux Phocéens. Ces terres deviendront Marseille. 

    Marie Liehn : Bonjour, Comanos.

    Comanos, Bonjour Marie, quand on me parle on dit Grand Roi.

    Marie Liehn : Grand Roi, pourquoi es tu aussi hostile aux habitants de Massalia (Marseille)

    Comanos : Tu le sais bien, puisque c'est toi qui l'a écrit !

    Marie Liehn : Oui, Grand Roi, mais les lecteurs ne le savent pas. Ce serait bien que tu leur expliques.

    Comanos, en présentant sa tête des mauvais jours : Je n'en ai pas envie

    Marie Liehn : Pourquoi, tu n'aimes pas mes lecteurs.

    Comanos, s'énervant : Grand Roi, je t'ai dit. Je ne peux ni aimer tes lecteurs, ni ne pas les aimer, je ne les connais pas.

    Marie Liehn : Grand Roi, tu veux être gentil pour une fois ?

    Comanos : Marie Liehn, tu m'as fait le méchant de l'histoire. Pourquoi je serais gentil ?

    Marie Liehn, s'efforçant de sourire : Grand Roi, c'est moi qui t'es créée, tu pourrais m'en être reconnaissant.

    Comanos : Bon, si tu veux. Bien que tu sois née dans cette ville dont les terres devraient être miennes.

    Marie Liehn : Pourquoi ?

    Comanos : Pourquoi, Grand Roi. Répète ou je vais me fâcher.

    Marie Liehn, se désespérant : Pourquoi Grand Roi ? Je croyais que c'était Nann, ton père qui avait fait don de ces terres à Protis quand il avait épousé sa fille, donc ta soeur Gyptis. Ce n'est pas ça ?

    Comanos : Non, non et non ! C'est ce que tu as écris dans ton autre roman "Et Phocée créa Marseille" . Mais c'est faux. je n'ai jamais voulu que ces terres soient aux Phocéens. Mon père devait être un peu sénile à ce moment-là et les Phocéens en ont profité !

    Marie Liehn : Tu te souviens mal, Grand Roi. Ton pauvre père n'était pas sénile !

    Comanos : Peut-être. Mais ces Phocéens de malheur m'ont pris aussi la fille que j'aimais, Litavia.

    Marie Liehn : Tu aimais Litavia, Grand Roi.

    Comanos : Ne fais pas la niaise, Marie Liehn, tu le sais très bien. Ce que tu ne sais pas par contre, c'est que j'en ai beaucoup souffert.

    Marie Liehn : Mon pauvre Comanos, je ne savais pas que tu aimais autant Litavia !

    Comanos : Ne me plains pas, Marie Liehn, je n'aime pas ça. Allez au revoir.

    Marie Liehn : Au revoir Comanos.

     

     

     

     

     

     


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