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Par MarieLiehn le 7 Mars 2021 à 18:05
Bienvenue sur mon blog.
En attendant la couverture de mon blog, je vais interviewer mes personnages en commençant par Comanos. Comanos est le Roi des Ségobriges dont le père a fait dont des terres aux Phocéens. Ces terres deviendront Marseille.
Marie Liehn : Bonjour, Comanos.
Comanos, Bonjour Marie, quand on me parle on dit Grand Roi.
Marie Liehn : Grand Roi, pourquoi es tu aussi hostile aux habitants de Massalia (Marseille)
Comanos : Tu le sais bien, puisque c'est toi qui l'a écrit !
Marie Liehn : Oui, Grand Roi, mais les lecteurs ne le savent pas. Ce serait bien que tu leur expliques.
Comanos, en présentant sa tête des mauvais jours : Je n'en ai pas envie
Marie Liehn : Pourquoi, tu n'aimes pas mes lecteurs.
Comanos, s'énervant : Grand Roi, je t'ai dit. Je ne peux ni aimer tes lecteurs, ni ne pas les aimer, je ne les connais pas.
Marie Liehn : Grand Roi, tu veux être gentil pour une fois ?
Comanos : Marie Liehn, tu m'as fait le méchant de l'histoire. Pourquoi je serais gentil ?
Marie Liehn, s'efforçant de sourire : Grand Roi, c'est moi qui t'es créée, tu pourrais m'en être reconnaissant.
Comanos : Bon, si tu veux. Bien que tu sois née dans cette ville dont les terres devraient être miennes.
Marie Liehn : Pourquoi ?
Comanos : Pourquoi, Grand Roi. Répète ou je vais me fâcher.
Marie Liehn, se désespérant : Pourquoi Grand Roi ? Je croyais que c'était Nann, ton père qui avait fait don de ces terres à Protis quand il avait épousé sa fille, donc ta soeur Gyptis. Ce n'est pas ça ?
Comanos : Non, non et non ! C'est ce que tu as écris dans ton autre roman "Et Phocée créa Marseille" . Mais c'est faux. je n'ai jamais voulu que ces terres soient aux Phocéens. Mon père devait être un peu sénile à ce moment-là et les Phocéens en ont profité !
Marie Liehn : Tu te souviens mal, Grand Roi. Ton pauvre père n'était pas sénile !
Comanos : Peut-être. Mais ces Phocéens de malheur m'ont pris aussi la fille que j'aimais, Litavia.
Marie Liehn : Tu aimais Litavia, Grand Roi.
Comanos : Ne fais pas la niaise, Marie Liehn, tu le sais très bien. Ce que tu ne sais pas par contre, c'est que j'en ai beaucoup souffert.
Marie Liehn : Mon pauvre Comanos, je ne savais pas que tu aimais autant Litavia !
Comanos : Ne me plains pas, Marie Liehn, je n'aime pas ça. Allez au revoir.
Marie Liehn : Au revoir Comanos.
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